Mon vase, un verre à moutarde, trop petit.
Un courant d’air chaud souffle. Il va m’aider.
Elle est belle, avec la nuit elle se referme.
Il m’aide, je saute.
L’eau tiède mouille mes pétales rouges.
Ils ne m’ont pas vue.
Je meurs.
jeudi 26 juillet 2007
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3 commentaires:
Très triste, très beau.
bisous
quel poete ce benoit !c'est bien que tu n'aies rien a bricoler de tes mains car cela nous permet de découvrir tes talents cachés !
je suis du meme avis que le dame que je pense connaitre !
bisous
bruno
Merci beaucoup tout les deux...
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