Dans la ruelle, il fait beau.
Il approche comme un chat.
Une commode sans tiroir attend que le gros camion rouge de la ville de Montréal le ramasse délicatement.
Nous on discute avec eux.
Les écureuils volent entre les arbres.
Des papiers sales traînent. Il marche dessus, je l’aperçois.
Un mouchoir blanchâtre est entre nous.
Il veut savoir si ma proposition d’aide est toujours d’actualité.
Je réponds “ Bien sûr “.
Son visage fatigué de sa journée de travail s’éclaircit.
Il est peut-être écrivain…
vendredi 6 avril 2007
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1 commentaire:
on en veut encore...
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